Destination finale du voyage, Addo Elephant National Park. Les photos parlent d’elles-mêmes : nous avons vu des tonnes de bestioles grandes ou petites, à poils ou à plumes, avec ou sans cornes, sociales ou solitaires ; un vrai régal !
Réputé pour ses éléphants, comme le laisse entendre son nom, ce parc national est un sanctuaire pour la faune sauvage où les touristes peuvent s’adonner au safari photo. La faune étant sauvage et parfois féroce, et les humains étant parfois peu clairvoyants et fréquemment inconscients… c’est donc pour le bien de tous que le seul moyen de locomotion autorisé dans l’enceinte du parc est la voiture. Interdit d’en sortir, sauf à quelques points clefs. C’est franchement frustrant pour nous qui passons normalement le plus clair de notre temps dehors, mais finalement cela semble plus que nécessaire : Après avoir vu un certain nombre de de gens faire des selfies « moi et mon buffle énervé » ou « oh trop mignon le petit éléphanteau » à travers la voiture ; parfois le corps plus qu’à moitié sortie par les fenêtres, on se dit que les accidents seraient nombreux n’était cette interdiction de mettre un pied dehors.
Nous nous adonnons au jeu du « qui verra en premier… un suricate ?! une mangouste ? un lion ? ». Cela rythme agréablement les découvertes. Premier phacochère croisé et nous voila déjà en train de fredonner acounamatata . Bref, trêve de longues phrases descriptives, regardez plutôt les photos.
A bon entendeur, Acounamatata !