De fleurs alpines en fleurs andines est un projet né de l’idée un peu folle de mêler plusieurs de mes passions : la montagne, l’écologie,  le sport, les voyages, les rencontres et la communication.

De fleurs alpines en fleurs andines est bâtis autour de deux grandes études :

 

-          Une collaboration scientifique avec le Jardin Botanique alpin du Lautaret :

D’Ushuaïa à Quito, nous allons traverser des écosystèmes très diversifiés bien que tous fassent partie de la Cordillère des Andes. Allant des terres les plus australes de l’Amérique du Sud jusqu’à l’équateur, les paysages vont évoluer, et les espèces végétales avec eux.

Ces deux années de voyage représentent donc une opportunité exceptionnelle pour moi de récolter des informations sur les plantes de la Cordillère des Andes. Après avoir contacté le Jardin du Lautaret, spécialisé sur les plantes de montagne, nous avons décidé de collaborer afin d’enrichir les connaissances scientifiques mondiales sur la flore des Andes.

Je leur transmettrai donc tout au long de notre périple des photographies et des observations de terrain qui leur permettront de compléter leur base de données, sachant que le Jardin du Lautaret tient la plus grande collection photographique mondiale des plantes de montagne. Et qui sait, peut-être découvrirons-nous une nouvelle espèce ?

 

-          Une étude préliminaire en collaboration avec plusieurs parcs naturels de la Cordillère des Andes :

Ma volonté de protéger la biodiversité m’a donné l’envie d’étudier la gestion environnementale dans les espaces naturels protégés de la Cordillère des Andes.

En collaboration avec plusieurs parcs naturels au Chili et en Argentine, et j’espère bientôt en Bolivie et au Pérou, je souhaite mettre en évidence les difficultés autant que les réussites quant à la protection de la biodiversité dans les zones protégées.

Mon objectif final est de pouvoir ensuite comparer ces résultats avec les difficultés et  les réussites écologiques dans les écosystèmes alpins protégés d’Europe. J’espère ainsi faire de cette étude un atout pour tous les gestionnaires de parcs naturels de montagne, et donc aider à mieux protéger les espèces végétales et animales des montagnes du monde.